Vous souhaitez :
- Sortir du doute ? des incompréhensions, de la frustration, des conflits ?
- Retrouver un équilibre ? une complicité avec votre enfant ?
- Construire les bases fondamentales du développement de votre enfant ? (émotions, confiance en soi, maîtrise de son corps, apprentissage, concentration, sommeil…)
Enfants en difficultés d’apprentissage à Rennes
Perdu(e) face aux difficultés de votre enfant ?
Vous vous sentez parfois démuni, fatigué, submergé.
Votre enfant se fait punir, gronder par la maîtresse. Il bouge trop, il est agité, son comportement est inadéquat en classe. « Il ne fait pas d’effort à l’école ». Ou encore, « Il manque de coordination », est trop lent. Il n’arrive pas à se concentrer.
Ou au contraire, tout se passe bien à l’école, et c’est à la maison que rien ne va. Le stress accumulé à l’école éclate à la maison, et la vie devient impossible à la maison. Il manque de volonté pour les devoirs, n’arrive pas à rester assis sur une chaise. Il n’arrive pas à mémoriser.
Mais votre enfant peut être à l’inverse très calme, réservé, et ne trouve pas sa place à l’école. Il est stressé, il pleure facilement, il a des troubles de sommeil.
Votre enfant est « étiqueté » autiste ? TDAH ? « dys » ? (dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dysgraphie …) et vous voulez faire quelque chose, mais quoi ???
Les troubles de votre enfant sont inclassables et vous ne savez pas quoi faire ?
Être parent n’est pas toujours un long fleuve tranquille
Vous vous sentez par moment coupable d’avoir des pensées du type « ma fille est insupportable », « mon fils m’épuise », ou coupable de ne pas avoir fait suffisamment de choses pour que votre enfant ait un comportement dit « normal ».
Vous avez peut-être déjà consulté un ou plusieurs spécialistes pour poser un diagnostic (orthophoniste, bilan neuro-visuel, bilan ORL, pédopsychiatre, psychologue…), avec souvent des délais d’attente longs.
Faut-il demander une AVS à l’école ? Dois-je m’y prendre autrement avec mon enfant ? Les choses peuvent-elles s’améliorer ?
N’attendez pas que les choses s’aggravent
Non, vous n’êtes pas une mauvaise mère / un mauvais père. Si votre enfant à un trouble, c’est normal d’avoir des difficultés. Et si vous êtes arrivé sur cette page, c’est que vous vous inquiétez pour votre fils / fille. Vous êtes un donc un BON parent !
Ne baissez pas les bras, votre enfant a besoin de vous.
Grâce à votre travail et celui de votre enfant, vous apprendrez à changer les réactions réflexes, à changer les schémas émotionnels et mentaux, à construire les briques de base d’une maison solide que votre enfant habite : son corps et son mental !
Vous avez des questions, j’ai des réponses.
Je m’appelle Thaïs Leboisselier et je peux sûrement vous aider.
Faites le premier pas, appelez-moi.
Remettons votre enfant sur les bons rails.
En moyenne, les parents attendent 4 ans avant de demander de l’aide. Autant de temps de retard accumulé, à l’âge où les apprentissages vont de plus en plus vite ! N’en faites pas partie !
De nombreux parents, en quête de solutions pour aider leurs enfants en difficultés d’apprentissage, souvent fatigués, s’intéressent à différentes pratiques. Les réflexes archaïques, la sophrologie, l’art-thérapie en font partie. Ce sont des pratiques qui ont fait leurs preuves rapidement et durablement.
➣ Aujourd’hui, vous faites le choix du changement durable et efficace et la démarche n’est pas toujours facile.
➣ Alors, je serai là pour vous écouter avec bienveillance, sans aucun jugement. Ensemble, nous échangerons sur ce qui ne va pas dans votre vie et nous travaillerons pour atteindre vos objectifs. L’idée est de parvenir à un équilibre dans votre vie en douceur, pour retrouver sérénité et légèreté.
➣ Maintenant, il est temps pour vous de passer à l’action.
➣ Pour cela, vous pouvez commencer par un appel. Je répondrai à toutes vos questions concernant vos interrogations, comment ça se passe et votre situation actuelle en lien avec vos difficultés.
Vous pouvez directement réserver votre appel gratuit de 15 minutes ici :
Les réflexes archaïques, vous connaissez ?
Il faut savoir que les réflexes archaïques (ou réflexes primitifs, c’est un synonyme) constituent l’un des outils les plus anciens et simples utilisés pour évaluer l’intégrité du système nerveux central à la naissance : bébé agrippe le doigt qu’on lui donne, tourne la tête et ouvre sa bouche quand on lui effleure la joue ou les lèvres, fait des mouvements de marche avec ses jambes… C’est ce qu’utilisent tous les médecins depuis toujours. Ce qui est moins connu du grand public et non utilisé en médecine traditionnelle, c’est la complète maturation des réflexes primitifs qui doivent laisser place aux réflexes posturaux et aux mouvements contrôlés.
Ces réflexes sont au nombre de 70 environ. Les premiers émergent à 9 semaines in utero, d’autres au cours de la grossesse, d’autres encore au moment de la naissance et les derniers dans les premiers mois de vie. Chaque réflexe, doté d’un programme spécial, joue un rôle essentiel dans acquisition d’habilités et prépare le réflexe suivant. il émerge selon un ordre préétabli, commun à tous. Il mature au cours de la phase d’activité plus ou moins longue, puis s’efface quand la nouvelle compétence en lien avec ce réflexe est acquise.
Les découvertes en neurosciences démontrent que la présence de réflexes résiduels peut entraîner une immaturité neuro-sensori-motrice parasitant le développement des aptitudes de base et les futurs apprentissages scolaires. Les détecter permet ainsi d’isoler le dysfonctionnement et d’y remédier à travers un programme ciblé et personnalisé.
Témoignages de parents
En tant que parents, vous êtes les premiers à observer ou reconnaître que votre enfant paraît différent, a des difficultés dans un domaine d’apprentissage. Cela peut être dans la sphère motrice, émotionnelle ou cognitive.
Certains d’entre vous me disent par exemple :
« Il a des problèmes de concentration, d’attention,… Il ne tient pas en place, il bouge tout le temps,… ou « c’est un rêveur, il joue avec sa gomme, son stylo,… »,
« Il n’a pas le temps de finir son travail en classe, … » ou « Son travail est brouillon, sale, il y a des ratures,… »,
« Il fait plein de fautes d’orthographes, même à la recopie, il ne se relit pas. »,
« Elle manque d’autonomie, faut toujours être derrière elle,… »
« Il est gentil, travailleur, il travaille beaucoup mais ça n’entre pas,… »,
Jusqu’ici non détectées, ou d’apparence anodines, vous vous apercevez au fil du temps que les difficultés de votre enfant viennent parasiter ses apprentissages plus complexes ou les ralentir. Autant d’énergie qu’il ne peut pas utiliser, ce qui le dessert dans ses nouvelles acquisitions. Certains enfants sont par ailleurs déjà étiquetés : « dyslexique« , « a un trouble de dysgraphie« , TDAH, a un trouble vision-spatiale, a des troubles du langage…
Pourquoi « intégrer » ses réflexes PRIMITIFS ?
En pleine croissance, le système nerveux central permet à votre enfant de s’adapter efficacement à son environnement social et physique. La présence des réflexes primitifs est primordiale pour le développement des réseaux neurologiques. Mais si cette présence persiste, elle est aussi le signe d’une immaturité des acquisitions de base pouvant entraver la suite des apprentissages. Pour y accéder, l’enfant met en place des schémas de compensation.
On parle de ces enfants comme des enfants en difficultés scolaires, timides, impulsifs, maladroits, toujours en mouvement, bagarreurs, etc. Certains sont déjà vu par un orthophoniste, un kinésithérapeute, un psychomotricien, un ergothérapeute, un psychologue, un orthoptiste… c’est déjà très bien, mais cela peut être long et fastidieux pour certains enfants.
L’intégration des réflexes archaïques permet d’accélérer le travail de ces professionnels, ou tout simplement de débloquer une situation qui ne progressait plus. Aussi, je ne me substitue pas à un orthophoniste, un kiné ou un psychomotricien : j’accompagne votre enfant pour construire avec lui des fondations solides, les briques de base de ses apprentissages, pour que les autres professionnels puissent s’appuyer dessus.
Sachez qu’il n’est jamais trop tard pour agir et alléger ses difficultés au quotidien.
Comment agir sur nos réflexes ?
Notre objectif est d’agir de manière à stimuler et coupler tous nos sens par le mouvement. Par exemple, en même temps que je suis du regard un objet en mouvement, je contrôle mon équilibre et ma posture. Je recommence le même exercice mais les yeux fermés et avec un objet bruyant. En même temps que je suis l’objet bruyant (sens auditif), j’active mes sens de l’équilibre (ma conscience du corps dans l’espace) et ma dynamique posturale. Ainsi, chaque sens se développe et se renforce par les informations des autres. L’observation est faite sur la façon dont mon corps réagit à la stimulation.
Mais votre enfant a peut-être tous ces réflexes intégrés, et il souffre plutôt de stress, de manque de confiance en soi, a subit des événements traumatisants, a des angoisses, des phobies ? Et cela le gène dans son parcours scolaire, ou dans son quotidien ?
Et la sophrologie, vous connaissez ?
La sophrologie, ce n’est pas que de la relaxation. Dans une séance de sophrologie, on apprend plusieurs techniques de respirations qui ont de nombreux bénéfices : pour retrouver de l’énergie, pour évacuer les tensions, ou encore pour apaiser nos émotions.
On pratique aussi des exercices de relaxation dynamiques.Ce sont des mouvements doux issus du yoga.
Enfin, on utilise des techniques de visualisation positive, au cours de séance de détente, qui vont nous aider à nous débarrasser du stress, des pensées négatives ou des angoisses.
Les enfants sont particulièrement réceptifs à la sophrologie
Ces différents exercices peuvent les aider à gérer les émotions, à renforcer leur confiance en eux, à favoriser un sommeil de qualité, ou encore à travailler la concentration.
Cela permet également à d’autres enfants avec des besoins plus spécifiques à accepter leur situation (deuil, maladie, accident, déménagement non accepté), qui impacte leurs apprentissages, leur quotidien. Ils vont alors vivre avec un sourire retrouvé.
Un outil complémentaire pour favoriser la communication avec l’enfant : l’art-thérapie
Lors de mes séances, je vais utiliser en complément l’art-thérapie pour aider l’enfant à s’exprimer différemment que par des mots. Par exemple, le dessin peut être un moyen d’expression plus facile pour l’enfant que les mots. Autre exemple : l’expression d’un sentiment par un instrument de musique (tambour, carillon, flûte…) peut être aussi un moyen plus facile pour d’autres enfants.